Damien MOULIERAC
Contemporary french artist
Born in 1990 in Montauban (France)
Damien Moulierac is today one of the most promising but also the most engaging young artists of his generation.
His sculpture, very contemporary, is imbued with a certain melancholy around the passage of time and its effects: decomposition of the flesh or everyday objects linked to childhood but as frozen in time, statuaries.
For his sculpture Damien Moulierac relies on rather atypical materials such as ceramic or concrete - at a time when many artists are more willingly turning to less demanding resin or vinyl.
Through it, he does not want to copy reality; hyper-realism doesn't interest him. What he wants above all is to arouse, to suggest emotions through his creations.
His drawings are filled, through his characteristic line, with the same melancholy or even blackness but also with a certain certain irony which would not have displeased the late Roland Topor.
These drawings relate, like his sculpture, to passing time (his arrow as a signal of the imminent disappearance of many cities or regions) and to childhood (swimming pool, slide); but a frozen childhood that seems to lead nowhere.
Damien MOULIERAC
Artiste contemporain français
Né en 1990 à Mantauban (France)
Damien Moulierac est aujourd’hui l’un des jeunes artistes les plus prometteurs mais aussi les plus attachants de sa génération.
Sa sculpture, très contemporaine, est empreinte d’une certaine mélancolie autour du temps qui passe et de ses effets : décomposition de la chair ou objets du quotidien liés à l’enfance mais comme figés dans le temps, statufiés.
Pour sa sculpture Damien Moulierac s’appuie sur des matériaux plutôt atypiques comme la céramique ou le béton – à l’heure ou beaucoup d’artistes se tournent plus volontiers vers la résine ou le vinyl moins exigeants.
A travers elle, il ne se veut pas copiste de la réalité ; l’hyper –réalisme ne l’intéresse pas. Ce qu’il veut avant tout c’est susciter, suggérer des émotions à travers ses créations.
Ses dessins sont remplis, à travers son trait si caractéristique, de la même mélancolie voire noirceur mais aussi d’une douce ironie certaine qui n’aurait pas été pour déplaire au regretté Roland Topor.Ils se rapportent, à l’instar de sa sculpture, au temps qui passe (sa flèche comme signal de la disparition prochaine de nombreuses villes ou régions) et à l’enfance (piscine, toboggan) ; mais une enfance figée qui ne semble mener nulle part.